Stéphane Babonneau et Antoine Camus ont beaucoup, beaucoup parlé, depuis l’ouverture du procès. Ils ont posé bien plus de questions que les avocats généraux. Ce sont eux qui se sont battus, face à la défense, face au président de la cour criminelle du Vaucluse, pour obtenir que les vidéos soient diffusées publiquement, et non à huis clos.