Si une partie des dirigeants européens se félicitent du retour du républicain à la Maison Blanche, d’autres redoutent des mesures protectionnistes venues de Washington
Pour son discours d’investiture, lundi 20 janvier, Donald Trump a d’abord et avant tout parlé aux Américains. S’il a annoncé le retrait de l’accord de Paris et de l’Organisation mondiale de la santé, il n’a pas eu un mot explicite sur l’Europe, l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) ou l’Ukraine.