Enveloppes de cash remises en main propre, sociétés-écrans bulgares… Un travail complexe est réalisé depuis plus d’un an par les enquêteurs pour démêler les flux financiers, dans le dossier judiciaire dit « des ingérences étrangères ». Dans cette affaire aux multiples ramifications, plane l’ombre du Qatar et de sociétés israéliennes, aux commanditaires mystérieux.