Cabossé par ses échecs, raillé sur son « centrisme mou », le Béarnais décroche enfin le poste tant espéré.
Près de douze ans de retard et une facture de plus de 19 milliards d’euros, multipliée au moins par six pour cause de malfaçons.
Désormais sans mandat, Jean-Luc Mélenchon a pris l’habitude de venir voir les siens à l’Assemblée nationale.