Une sorte de « grande peur » s’empare des élus locaux, un peu partout dans le pays. Et si, aux élections municipales de 2026, le nombre de candidats s’effondrait ? En septembre, le président de l’Association des petites villes de France, le maire (Parti socialiste) de Barentin (Seine-Maritime), Christophe Bouillon, a mis les pieds dans le plat : « On n’imagine pas que les élus tombent en panne.