Je ne vais pas appeler ça la scène de violence, mais l’accident. »
A la barre de la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris, jeudi 9 janvier, Stéphane Plaza sautille nerveusement en corrigeant les avocats des victimes. Il a été « un peu lourd » sur quelques « blagues », a « déçu peut-être », été infidèle, « oui ».