Le profane qui brade un objet dont il ignore la valeur, et qui apprend ensuite s’être défait d’un trésor, ne peut obtenir l’annulation de son contrat de vente, car son « erreur » est jugée « inexcusable » : il aurait dû consulter un professionnel. Il en va autrement du profane qui s’en est remis à un professionnel, comme le rappelle l’affaire suivante.