L’air commence à se raréfier pour Bachar Al-Assad. Depuis 2011, en treize ans de guerre civile, le dictateur syrien a su déjouer tous les pronostics sur sa chute prochaine. Mais, face à la progression fulgurante du groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Cham (HTC) et de ses alliés soutenus par la Turquie, qui se sont emparés de Hama, jeudi 5 décembre, après Alep, les soutiens commencent à manquer.