Le soutien résigné du « socle commun » après un discours sans élan
Nul signe d’impatience, aucun sourire en coin et même quelques applaudissements… Mardi 14 janvier, dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale, Gabriel Attal joue les soutiens modèles quand les moqueries des opposants fusent, visant le premier ministre, François Bayrou, qui déclame lentement sa déclaration de politique générale en mélangeant parfois ses notes.