Encouragé par le changement de pouvoir à Damas, le président turc Recep Tayyip Erdogan, grand protecteur de la rébellion syrienne, a profité de la nouvelle donne pour lancer les rebelles pro-turcs de l’Armée nationale syrienne (ANS) à l’assaut de plusieurs villes du nord-est de la Syrie qui étaient contrôlées jusqu’ici par les forces kurdes.