C’est l’un des mauvais élèves de la classe. L’e-commerce décroche même la quatrième place lorsqu’on évoque les principaux postes d’émissions de gaz à effet de serre des Français. Pour les acteurs de ce marché qui séduit toujours davantage les consommateurs (avec + 8,4 % de croissance au deuxième trimestre 2024), il est donc urgent de trouver des solutions pour améliorer les pratiques.