Sur les 110 ha de terres d’Eudes Coutté, au sud de l’Essonne et à la frontière de l’Eure-et-Loir, s’épanouissent des champs de colza, de blé, de tournesol et de sorgho. Mais voilà bien longtemps que le céréalier n’y a pas observé de perdreaux. « S’il n’y en a plus, c’est parce qu’il n’y a plus de haies pour que les oiseaux s’y abritent, constate le céréalier.