« Sans leur intervention, je ne serais pas là aujourd’hui. » Laura Rapp n’a pas le moindre doute sur ce qu’elle doit à quatre voisins de palier depuis cette nuit d’horreur du 16 au 17 avril 2018 : la vie, tout simplement. Elle habitait alors Antony (Hauts-de-Seine) avec le père de sa petite fille.