A la fin de l'année à Paris et à Marrakech c'est la saison des peintres orientalistes. Un marché en pleine évolution pris entre la nostalgie d'anciens habitants du Maghreb et des acheteurs du Moyen-Orient aux moyens colossaux. Héritage du passé colonial de la France, Paris reste l'épicentre du marché de l'art tribal, anciennes colonies en Afrique subsaharienne oblige.