Le patron de Stellantis défend l'objectif fixé par l'Europe, après l'avoir pourtant vertement critiqué. Pour lui, remettre en cause le cadre réglementaire actuel serait la pire des solutions. Explications. Qu'on ne s'y trompe pas, Carlos Tavares n'est pas partisan d'un rétropédalage sur l'objectif du 100 % électrique en 2035.