Réédition de trois films adaptés des contes japonais d’épouvante, dont «The Ghost of Yotsuya», qui exploitent à la perfection le mythe intemporel du fantôme désireux d’obtenir réparation.
Existe-t-il plus grand plaisir, dans le cinéma d’épouvante, que de continuer à se faire surprendre, malmener, électriser, par des films vieux de plus de soixante ans ?