Avec sa couverture écarlate, barbouillée autant que sauvagement raclée, la monographie tardive de l’artiste et réalisateur anglais Derek Jarman, mort du sida en 1994, est compacte comme un pavé dans une mare de sang. On l’attendait depuis l’exposition qui fit date en France, celle que lui consacra le Credac d’Ivry en 2021.