Expresso-Culture
George Lloyd, de Londres à la lumière
La réédition par Lyrita d’une partie de l’œuvre enregistrée du compositeur britannique, mort en 1998 et injustement oublié, a été l’événement de cette année discographique, révélant entre autres concertos, messe et requiem, un corpus éblouissant de douze symphonies.
LibérationÉric Dahan
A l’heure où il est d’usage de faire un bilan de l’année écoulée, on peut affirmer que l’événement discographique de 2024 restera la «Signature Edition», de George Lloyd, publiée par Lyrita, soit une série d’enregistrements, rachetés à Albany Records, offrant une vue quasi-panoramique - il manque ses opéras - de l’art de ce compositeur.
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