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Les «nuages motocyclistes» de Jacques Réda

LibérationPar Bernard Chambaz écrivain
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Jacques Réda partageait avec Michel Deguy le goût du solex. Mais, lui, il ne l’a pas laissé au bord du poème. Il l’a allégrement chevauché. Il avait l’âme heureuse, enfin, assez heureuse pour bénéficier des fulgurances de son maître helvète, Charles-Albert Cingria.
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