L’arrivée de Charlie Dalin au lever du jour mardi, dans une ambiance polaire mais avec une lumière digne d’une toile fauviste, est à l’image de sa course : sublime. Les visages sont bleutés et les corps congelés, mais les mines sont réjouies. Privilège et bonheur de découvrir ce marin débarquer frais comme un gardon depuis l’horizon après plus de deux mois de mer.