ENVIRONNEMENT En analysant l’ADN présent dans des sols cultivés durant des années avec du glyphosate, des chercheurs ont découvert qu’une enzyme bactérienne s’est spécialisée dans la dégradation de l’herbicide le plus répandu au monde. La séquence génétique identifiée se révèle plus efficace que les formes fabriquées jusque-là en laboratoire.