Rédigés par les États-Unis et signés par 23 États depuis 2020, les accords Artemis établissent un ensemble de principes destinés à organiser l’occupation et l’exploitation future de la Lune. Celle-ci est aujourd’hui régie par le traité de 1967, qui considère tous les corps célestes comme « l’apanage de l’humanité », que personne ne peut s’approprier.