SUZANNE DIKKER PROFESSEURE ASSOCIÉE DE RECHERCHE AU DÉPARTEMENT DE PSYCHOLOGIE DE L’UNIVERSITÉ DE NEW YORK (ÉTATS-UNIS) « Il est difficile de se synchroniser avec une personne au téléphone, car les interactions corporelles sont coupées. Or, notre cerveau se nourrit justement des bénéfices qu’il peut y avoir à se caler sur la marche ou sur le rythme cardiaque des personnes qui nous entourent.